Même si la chimie, demain, nous transforme à volonté en bienheureux jocrisses ou en robots désespérés, il y aura toujours une liberté. Elle se trouve derrière les lèvres du bois, les vagues du marbre. Là, se donnent des fêtes sans objet, des rendez-vous sans heure que nul ne peut manquer. Là, le poisson sans eau, la salamandre sans feu, la rime sans poème et la queue sans tête s’ébaudissent sans rien payer. Bucaille nous tend dès aujourd’hui les clefs de cette suprême enfance où nous devrons, bientôt peut-être, prendre le maquis.


Jean ROUSSELOT





Bucaille a exploré les forêts miroitantes et sombres comme une nuit sans amour où les arbres ont mille regards plus durs que les regards de quelques animaux fabuleux à mi-chemin entre le désir de leur créateur et la défaite de leur naissance, ce qui les laisse avec d’étranges attirails d’un bric-à-brac à réveiller les zones inexplorées de nos mémoires ancestrales.

Jean-Jacques LEVEQUES




Irène son épouse dans leur maison de Créteil.

Aimant le calme et la nature, ils se rendaient régulièrement dans leur résidence secondaire de Clairefontaine, dans les Yvelines où Max concevait une partie de ses oeuvres, peintures et sculptures.

A Clairefontaine

A Créteil

A Créteil



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